Hommages


Messe de départ de St JOSEPH 
du Père Michel PAGÈS: 
4 Septembre 2022




















 









Avant tout Je me permets de saluer les membres du Siège de LOURDES qui se sont déplacés pour cette dernière messe : 

Marie-Claude AIZPURUA, notre présidente, si chère à tous les délégués, 

Gislaine, secrétaire générale et son mari Patrick et j’aperçois mon homologue, Philippe CABIDOCHE délégué du 65 .

Cher Père, Cher Michel, au nom des 3 anciens délégués , Marie-Madeleine, Geneviève, Georges et de moi-même , c’est un immense merci pour toutes ces années données au service des malades et particulièrement au service d’LCE, tu es aumônier diocésain depuis 2006 , et aumônier national depuis 2011 . 

Pendant 12 ans, tu as, d’octobre à mars, arpenté la France, jusqu’en Belgique et Monaco, accompagné des directeurs de pèlerinage successifs, pour rencontrer les délégations et nous offrir en septembre de magnifiques pèlerinages. 

Toutes ces années pour dire combien les malades et cette Association ont eu de l’importance dans la vie de prêtre……

En ce qui me concerne c’est avec beaucoup d’émotions que je revois ces 6 dernières années : 

d’abord le temps où tu m’as accompagné pendant ma maladie, sans hésiter  à me mettre  face ma propre finitude, sans affolement, parce-que c’est celle de nous tous, tu m’a invité à offrir cette souffrance et à la transformer  pour la rendre féconde … Et lorsque à la fin de mon traitement, je t’ai dit : « et bien voilà, c’est fini », tu m’as répondu :

« Mais Non, c’est maintenant que tout  commence » 

 

…. Merci de m’avoir accompagnée dans mes premiers pas de déléguée de m’avoir insufflée l’esprit de la mission :  
Avec l’aide de l’Esprit Saint,  

- me taire pour écouter l’autre, 
- choisir le mot ou la phrase juste qui rassurent,
- tendre la main pour dire je ne suis rien, mais je suis AVEC toi et nous (la famille LCE) nous allons prier pour toi .

Merci pour toutes ces célébrations, ces homélies, ces retraites, ces conférences, ces confessions, ces rencontres, ces enseignements, ces repas et journées partagés, que tu as donnés à LCE et à nos malades, 
Merci d’avoir pris le temps de me faire grandir 

 

Aujourd’hui nous sommes bien sûr TOUTE LE DELEGATION DE LA HTE-GARONNE, très tristes de te voir nous quitter, mais pour les toulousains, ST JEROME n’est pas très loin, et nous le savons, nous serons, j’en suis sûre, toujours bien accueillis, 

Soutenus par nos prières, et nous te souhaitons beaucoup de réussite et de joies, dans ta nouvelle mission auprès des familles, un nouveau défi, un nouveau challenge, à ta mesure que tu sauras REMPORTER, nous en sommes certains . Hélène SERLOOTEN déléguée 31/09



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Mathilde HOCHDOERFFER 

Messe d'À DIEU mercredi 10 mars 2021



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Mercredi, à 14h30, en l'Eglise Saint-Joseph de TOULOUSE a eu lieu la messe 
d'À DIEU de Simone-Mathilde HOCHDOERFFER 
 Une cinquantaine  d'amis d'LCE étaient présents pour entourer sa fille Marie-Françoise, 
et ses trois petits-fils.
 Une très belle cérémonie empreinte d'émotion, présidée par le Père Michel PAGES qui a retracé la vie de notre chère centenaire......



1918-2021 !  Plus d’un siècle ?  Non, une vie, la vie de Mathilde !
Mathilde m’avait dit un jour : je n’étais pas destinée à vivre 
« Je suis née minuscule, je rentrais dans une boite à chaussures ». 
Que Mathilde ne vive pas ! 

Ce n’était certainement pas le projet de DIEU

 

Mathilde savait nous passionner, nous émouvoir quand elle racontait son métier d’infirmière anesthésiste au front pendant la dernière guerre mondiale, 

 

J’évoquerai sa grande culture, elle parlait cinq langues et se débrouillait toujours malgré son âge avancé,... nous en avons eu un aperçu le jour de ces 101 ans à LOURDES, pendant le déjeuner elle s’est mise à converser avec beaucoup d’aisance avec la délégation d’Espagne installée à table à côté

Je ne peux pas taire sa carrière d’artiste, son rôle de professeur dans l’association des artistes occitans ; sa personnalité extraordinaire transparaissait même dans ses peintures ; l’éblouissement des couleurs de ses œuvres révélait la fougue, et la vigueur de son tempérament. 

Et tant d’autres choses qui j’oublie ….

Comme son rôle pendant de nombreuses années à TOULOUSE ACCUEILLE où  proche de tous, elle avait su conquérir les personnalités les plus diverses

Enfin je parlerai de son rôle à LCE, sa fidélité d’abord  pendant presque 30 ans, sans manquer un seul pèlerinage, son service chaque année pendant près de quinze ans à l’ACCUEIL 

Notre Dame,  pour installer, rassurer, guider les malades qui arrivaient de toute la FRANCE

Lorsque moi-même je suis arrivée à LCE, En mars 2016, 
c’est elle qui m’ accueillie, et m’a dit :

"Hélène, écoutez-moi: à Lourdes Cancer Espérance, on écoute, on ne pose pas de question, mais on est AVEC"

 J’en ai fait ma devise
J’ajouterai qu’en tant que déléguée, chaque matin pendant le temps du pèlerinage, je m’efforce d’être la première dans la salle de restaurant, 7h, 7h15 au plus tard, pour rencontrer mes pèlerins et bien pendant les trois pèlerinages que j’ai fait en compagnie de Mathilde, je n’étais jamais la première,  même à 101 ans, en 2019, Mathilde était là avant moi 

Je retiendrai aussi en pensant à cette grande dame, que j’ai trop peu connue, sa volonté, son courage, sa grande force de caractère, sa très grande gentillesse auprès de tous, sa disponibilité à l’écouter chacun ;

 Au nom de toute l’équipe qui m’entoure et de l’ensemble des adhérents qui l’ont connue, je présente nos condoléances à Marie-Françoise sa fille dont elle était si fière, à ses petits-fils qu’elle adorait et à toute leur famille. 
Nous vous assurons du secours de nos prières pour ceux qui sont aujourd’hui dans la peine et pour celle qui nous a quitté. 

Sa mémoire sera tristement évoquée lors de la messe de notre prochaine rencontre et pendant notre prochain pèlerinage en septembre 2021.

Hélène SERLOOTEN 

Déléguée


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Géraldine PROUDHOM

Messe d'À DIEU Samedi 11 Juillet 
MONTBETON (82)






Trop belle, trop jeune, trop enthousiaste, trop joyeuse, trop généreuse pour partir si jeune...
" Seigneur ! Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel" 
Que c’est dur aujourd'hui d’accepter ces quelques mots de notre prière quotidienne ! 
Géraldine a connu l’association Lourdes Cancer Espérance en décembre 2017, par Monique RUFFIE, une habituée de la rue Ozenne.

Son charme, sa spontanéité, sa gentillesse ont très vite conquis les membres de notre association.
Tout le monde l’aimait.
Elle savait que c’est en donnant que l’on reçoit.
Elle appréciait beaucoup nos r
éunions informelles et amicales dans lesquelles me disait-elle, on peut enfin parler, se confier.
Depuis nous avions appris à nous connaitre, à nous apprécier,  nous  avons ensemble beaucoup plaisanté, beaucoup ri,  très souvent par téléphone et par texto, par des petits coucous au magasin Casino.
Tr
ès courageuse face à la maladie elle ne se plaignait jamais.
Après ses contrôles elle me donnait toujours de ses nouvelles et s’int
éressait à la vie et à la santé des autres.
Et toi comment vas-tu ?           
Le p
èlerinage de septembre 2018, lui avait apporté le soutien et l’amitié qu’elle souhaitait.

Mon expérience de l’association LCE me montre tous les jours combien est fondamentale l’ amitié solidaire qui relie chacun dans le cadre d’une véritable communauté.
Sous le haut patronage de ND de Lourdes des merveilles s’accomplissent.
Chacun dépasse ses propres difficultés et se tournant vers les autres reçoit bien plus que ce qu’il a donné.

A titre personnel et en représentation de l’équipe qui m’entoure ainsi que de l’ensemble des adhérents qui l’ont connue et aimée je tiens à vous dire à vous, Alexandre, son mari, à ses parents, à toute sa famille et bien sûr à ses deux enfants la part que nous prenons à votre peine.

Nous vous assurons du secours de nos prières pour ceux qui sont dans la peine et pour celle qui nous a quitté.  
Sa mémoire sera tristement évoquée lors des messes et des réunions de rentrée. 

Je ne voudrais pas terminer sans m’adresser spécialement à Romane et Raphaël, « ses deux trésors »  qu’elle aimait tant.
En plus de tous vos sentiments affectueux et de vos souvenirs personnels rappelez-vous toujours que pour tous ceux qui l’ont connu et aimé, votre maman était un modèle ; 
un modèle de courage et de joie de vivre.


H
élène SERLOOTEN, déléguée LCE
6, rue Raspail, 31 400 TOULOUSE
0664218354
31.09lce@gmail.com







Raoul BALAS





A l'église Sainte Claire de TOULOUSE, nous étions très nombreux, de la grande famille d'LCE à accompagner Raoul à sa dernière demeure . Il avait rejoint sa Chère Emilienne dont il parlait toujours avec beaucoup d'émotions . Nous garderons de lui, son sourire, sa bonne humeur, son caractère affable, sa grande gentillesse et disponibilité à l'égard de tous . HS




Textes – Cérémonie Raoul Balas – 04/02/201
 Raoul se raconte .......

Né au Sénégal en 1927, ne supportant pas le climat, je pars, deux ans plus tard, avec toute ma famille dans le Gers.
Je découvre dans un premier temps la vie à la ferme chez mes grands-parents paternels, puis la vie à Toulouse.
Je fréquente l’école communale du Pont des Demoiselles, l’église St-Joseph, Pibrac et Lourdes en pèlerinages annuels.
J’ai 13 ans, 1940, je rentre aux enfants de Troupe à l’école militaire de Billom. La discipline est très stricte.
16 ans, la France est occupée, je rentre dans la Résistance et, avec papa, je fais fonctionner une imprimerie clandestine dans les sous-sols de la maison.
1944-1949, je m’engage dans l’armée de l’air. À l’issue de mes classes je suis sergent-chef diplômé mécanicien avion. Je pars pour la guerre en Indochine. Mécanicien volant, j’intègre un groupe d’aviation dédié au transport des troupes et aux parachutages.
De retour en France, au mariage de ma sœur, je rencontre Émilienne. Nous nous marions.
Je travaille aux PTT et je suis muté à Paris. Avec l’association des « Castors » je construis ma maison pour loger ma famille. La vie s’organise, le travail, la maison, l’éducation des enfants, les vacances en caravane à travers l’Europe.
1968, retour à Toulouse, nouvelle maison, réadaptation.
Dès la retraite j’adhère au Camping-Car Club avec Émilienne : beaucoup de sorties, de rencontres, de voyages à travers le monde.
Je m’implique régulièrement au sein de la paroisse Sainte-Claire.
Sensibilisés à la maladie du cancer, Émilienne et moi intégrons Lourdes Cancer Espérance, nous créant ainsi un autre réseau d’amis, et nous participons avec enthousiasme au pèlerinage annuel à Lourdes.
Devenu veuf, je conserve mes liens sociaux et essaye de me maintenir en forme grâce au vélo. Je bricole beaucoup et cahin-caha atteins mes 91 ans.
Mots de ses petites-filles
D’abord il y avait un prénom. Un prénom qui nous a valu, enfants, plusieurs fous rires.
Un prénom rugueux tout en rudesse, mais que Manou savait si bien faire chanter.
Il y avait ensuite un regard bleu. Bleu acier, presque transparent, assez captivant et mystérieux qui pouvait transpercer mais laissait deviner une beauté plus tendre, comme celle qu’on pouvait entrevoir dans ces vieilles photographies en noir et blanc. Un bel homme, qu’on se plaisait à imaginer faisant chavirer sa « Mimi ».
C’étaient aussi des mains, des grosses paluches assez effrayantes qui ne nous ont que très rarement prises dans leur bras, mais qui réussissaient à réparer et fabriquer. Un meuble en bois, un abri pour les poules. Car des fois on se demandait s’il ne savait pas mieux parler aux animaux, à sa façon de jouer avec les chiens ou de nourrir les poulettes. Mais c’est aussi pourtant ce qui nous reliait et a tissé un lien de génération en génération.
Et c’est ce puzzle de souvenirs qui restera aujourd’hui dans nos mémoires de petites et d’arrière-petites-filles...

Remerciements
Nous tenons à remercier tous ceux qui ont activement préparé et animé cette cérémonie, vous tous qui y avez participé, ceux qui nous ont aidé à relier l’information, sans oublier ceux qui n’ont pu être présents mais s’associent à nous par la pensée.
Merci à tous.

Georges Landier (Ancien délégué LCE)
Nous sommes réunis pour accompagner Raoul un ami qui était aimé et apprécié par un large cercle de personnes (notamment au sein de Lourdes Cancer Espérance) qu’il a touché au cours de son existence. J’ai été heureux de faire partie de ces personnes. 
Raoul était un homme simple et sympathique. On était tout de suite en confiance avec lui. Il aimait plaisanter. Vous me direz que c’est souvent ce que l’on dit, lorsqu’une personne nous quitte. Mais là c’est vrai. 
Sous son petit sourire, il aimait raconter des petites histoires, comme celle de sa rencontre avec Emilienne, son épouse, quand il s’était assis malencontreusement sur son chapeau. Drôle façon de courtiser une jeune fille qui allait devenir son épouse. Il y a bien d’autres petits récits. 
Sa grande douleur, fut lorsque que sa chère et aimée Emilienne est partie vers le Père. Quand il évoquait son épouse, des larmes venaient à ses yeux.
Nous avons, nous aussi,  de la peine pour vous ses enfants et nous aimerions prendre votre tristesse, ne serait-ce qu’une minute et l’emmener le plus loin possible. Comme cela nous est impossible, nous gardons l’espoir qu’elle diminuera avec le temps. 
Perdre quelqu'un fait mal mais, comme vous l’aimez vraiment, vous devez accepter de le voir partir tout en sachant que vous serez, un jour, réunis à nouveau.
Ce soir, dans le ciel, deux étoiles de plus brilleront dans le ciel.
Nous saurons que Raoul et Emilienne nous regardent et prient pour nous. 
Il restera dans nos cœurs et dans nos prières aussi longtemps que nous vivrons. Que Raoul repose en paix.

Homélie – Jean Joseph
En lisant le début de cet évangile : Jésus disait à ses disciples : « Restez en tenue de service »j’ai été frappé de la concordance entre cette demande de Jésus et ce qu’on m’a dit de la vie de Raoul Balas et aussi d’ailleurs de celle de son épouse Emilienne en son temps ! Le qualificatif qui revenait le plus souvent est celui de service, ils restaient en tenue de service que ce soit en visitant les malades dans les hôpitaux ou bien en rencontrant les personnes âgées par exemple, ou encore lors des pèlerinages à Lourdes. Ce service il l’accomplissait aussi dans les activités de cette paroisse et de cette église. Ce qui fait que si on m'avait demandé de donner un exemple de charité, de foi et d'espérance chrétienne, c'est eux que j'aurai pu proposer. Si on m'avait demandé de nommer quelqu'un qui a essayé de transmettre les valeurs de l'évangile de Jésus Christ c'est son nom que j'aurais pu donner. Aussi à cause de ce qu'il représentait, son départ marque pour moi aussi la fin d'une période riche en souvenirs importants des racines de notre culture chrétienne.
Aussi, j'ose dire de sa part, oui, de sa part, je voudrais vous transmettre un message d'espérance, de paix intérieure et de lumière. Je voudrais qu'en cet instant le Christ vivant soit présent à votre peine, le Christ vivant, celui qui a dit, dans l’évangile de St. Jean :"Ne soyez donc pas bouleversés… je pars vous préparer une place… là où je suis vous serez aussi".
Ici Jésus dit cette parole pour Raoul. Raoul, dont la vie, à la suite du Christ justement, a été tournée vers les autres : par son sens du service.
"Bon serviteurlà où je suis tu seras aussi".Cette parole de Jésus est une parole définitive. En cet instant nous célébrons une libération totale. Raoul est entré dans la vie éternelle, dans la vie de Dieu.
Maintenant il découvre tout ce que la vie, ses turbulences et ses souffrances a pu lui cacher. Maintenant il fait l'expérience de la rencontre véritable avec le Dieu de la promesse... Son Dieu. 
Maintenant, paradoxalement, il se rapproche de nous, peut-être plus qu'il ne l'a jamais été, car il est libéré ; les obstacles que la vie peut mettre entre les êtres se sont écartés. Sa vie est maintenant placée sous le signe de la vérité. Oui, je le crois,aujourd'hui avec Raoul, nous commençons une nouvelle manière de vivre, une nouvelle présence vivante s'offre à nous, nous souvenant de sa manière de vivre, de ses paroles, de ses gestes d'accueil, d'amour, de ses talents. 
Cette liturgie est un seuil d'espérance. Elle ne fait qu'exprimer, à travers l'insuffisance des mots et des signes humains, le message qui traverse toute la Bible et dont nous sommes ici les témoins, message de vie, comme dans ce passage de l'ancien testament déjà, du livre de Job : "Je sais moi que mon libérateur est vivant... avec mon corps, je me tiendrai debout et de mes yeux de chair, je verrai Dieu.".
Voilà quel est le contenu de la foi chrétienne et qui était profondément celle de Raoul. Une foi en l'avenir, en l'impérissable, une foi en l'Amour dans toutes ses dimensions. Chaque disparition, qu'elle soit brutale ou non, nous plonge c'est vrai dans le mystère même de la passion et de la mort du Christ… et de sa résurrection dont nous faisons mémoire à chaque eucharistie, à chaque messe, pour affirmer la victoire définitive de la vie sur la mort.
Ce qui se passe désormais nous échappe. Raoul s'avance sur l'autre rive. Celle du secret de Dieu, de l'Amour infini, du pardon total, la rive de la Résurrection. Car nous a dit aussi Jésus : "La volonté du Père c'est que je ne perde aucun de ceux qu'il m'a donné, mais que je les ressuscite tous au dernier jour". Il me semble qu’il y a quand même une condition, c’est la conclusion du Fils de l’homme Jésus dans l’évangile que nous avons entendu : « Vous aussi, tenez-vous prêts : c’est à l’heure où vous n’y penserez pas que le Fils de l’homme viendra. »